Aujourd'hui je n'ai pas besoin de beaucoup de matériel

pour me faire plaisir : la piéce est assez grande, il faut juste un point d'attache de part et d'autre

avec de longues chaînes munies de pinces japonaises et un

esclave au beau milieu pour compléter mon tableau...                      

                             C'est l'heure du déjeuner et je commence à avoir faim!

(des plateaux seront préparés par Sam avant de démarrer car je ne supporte pas d'attendre)

 second P.S: même si je le supportais, il n'en serait pas question...     

             J'enferme les poignets de sam à l'aide de bracelets tous simplesl, reliés à de grosses chaînes de bateaux, presque à l'horizontal qui pendent de chaque côté de la piéce, je pourrais pratiquement l'écarteler sans avoir besoin de quoique soit d'autre...que sa volonté...

Les pinces sont fixées à ses tétons....Déjà un suplice à elles seules....

   Les chaînes pendent au sol et je passe et repasse au dessus, les yeux de sam ne quittent pas  mes pieds (aurait-il peur que je marche sur les chaînes?)

Les muscles fessiers sont contactés au maximum, il ne bouge pas....

Biensur qu'il a peur que je trébuche....

Biensur que je vais "trébucher" et lui faire faire mal...

Biensur que je vais faire ce qu'il redoute et espére à la fois...

Je vais marcher sur les chaînes et le bousculer en tournant autour de lui : il hurle, j'aime, ne vous déplaise.

   Je sais parfaitement que toute son attention est portée sur la morsure des pinces, la posture est en croix imaginaire, bien ressentie cependant, mais seules ses jambes le soutiennent et je vais le fouetter.

Au martinet de cuir tressé pour échauffer un peu la peau, mais quelques coups appuyés au fouet court, je veux qu'il supporte...

Je veux qu'il me serve, (souvenez vous, j'ai déjà faim avant de jouer), j'aime voir l'expression

de ses yeux, ce que sa bouche ne dit pas...

"Maîtresse, les pinces et les chaînes suffisaient, pourquoi le fouet?...."

Parce que je ne veux pas que cela "suffise"...

Parce que j'aurai toujours du: "je n'en peux plus, pitié!"...

Parce que je provoque une douleur et que tu en auras toujours une autre...

Tu as choisi de vivre à mes pieds, à présent sers moi et tais toi....

Quoiqu'il t'en coûte, tu reçois ce que tu mérites....

Tu es inestimable à mes yeux,Sam.